J’aimerais bien écrire quelque chose sur le livre le plus silencieux de François Matton. Quand on aime il faut il le dire et c’est souvent à cet instant que le bavard en moi ne trouve mot. C’est peut-être aussi parce qu’Eric Chevillard s’est servi avant moi, lisez donc, et je suis bien content pour François, parce que les honneurs du Monde, avec ou sans majuscule, ce n’est pas rien, surtout quand ils sont à la fois aussi justes et aussi justifiés. Qu’est-ce que je pourrais bien rajouter à ce bel article ? Que ce livre, moi qui suis l’auteur sur son blog depuis des années, qui ai lu les deux précédents, sans compter celui qu’il a commis en commun avec notre ami Didier, j’ai éprouvé en l’ouvrant quelque chose comme le sentiment d’une évidence, que c’était le livre que j’attendais de lui maintenant, le plus mattonien de ses livres, et en même temps et singulièrement peut-être le plus universel. Mais je sens que je vais retomber dans les mots d’Eric Chevillard, alors dépêchez-vous d’aller lire son article si ce n’est pas déjà fait, et revenez ici voir lire voir lire (il faudrait dire les deux en un seul mot) quelques poèmes dessins pages satoris.
François Matton, 220 satoris mortels, P.O.L, 2013.
Cliquez donc pour mieux voir lire voir lire. Cliquez donc, c’est mieux.
Ambre 09/03/2013 20:59
PhA 10/03/2013 12:35
Michèle 09/03/2013 10:30
PhA 10/03/2013 12:35
Michèle P 08/03/2013 18:52
PhA 10/03/2013 12:33